Okapi : le magazine généraliste n°1 au collège
avec plus de 731 000* lecteurs !

Les couvertures des derniers magazines Okapi
Sur le chemin de l’adolescence, on est plein d’élan… mais on n’en mène pas large !
Les ados ont bien besoin d’un magazine comme Okapi pour :
  • s’épanouir et être heureux au collège,
  • répondre aux questions qu’on ose à peine poser,
  • comprendre l’actualité et construire sa vision du monde
* Etude Junior Connect - Ipsos 2021 Pour aider votre ado à comprendre le monde,Abonnez-le à Okapi

L’édito du rédacteur en chef

Okapi, un concentré de plaisir pour les 10-15 ans
Tous les 15 jours, avec le magazine Okapi, le monde des collégiens s’agrandit. Depuis près de 50 ans, Okapi répond à la soif de découverte des ados, apporte des réponses à leurs questionnements et les aide dans leur vie au collège. Sans oublier de les distraire !

Les surprendre à chaque numéro !
Parce que ce moment de passage de l’enfance à l’adolescence est un moment bouillonnant, enthousiasmant, turbulent, Okapi conçoit chacun de ses 22 numéros annuels comme un événement, où chaque sujet est amené de manière originale et surprenante à travers des rubriques aux usages bien identifiés.

Dans Okapi, les ados sont chez eux !

  • Photos d’actualité pour s’informer de la marche du monde.
  • Dossiers et sujets d’Histoire, de sciences, d’économie, d’environnement, de géographie, pour tout comprendre.
  • Articles pour décrypter l’univers du collège, les relations entre amis et au sein de la famille, la génération en mouvement.
  • Conseils pour tirer le meilleur profit de sa scolarité ; un espace plus intime où les ados trouvent des réponses adaptées à leurs questionnements personnels, où ils peuvent se regarder pour mieux regarder les autres.
  • Toute l’actualité littéraire, musicale et cinématographique de leur génération ; des activités manuelles pour tromper les moments d’ennui ; de la BD, des jeux, des tests, pour s’évader…

Si Okapi peut se targuer d’être toujours le premier “news magazine” des ados, c’est qu’il sait comme personne, les écouter, répondre à leur formidable soif de découverte, se faire l’écho de leur joie de vivre (pas toujours perceptible à l’œil non averti), être en phase avec leur optimisme, et les accompagner, à leur rythme, dans le chemin vers l’âge adulte. Une vraie relation durable !

Jean-Yves Dana

Pour donner à votre ado des clés pour réussir au collège,Abonnez-le à Okapi

Ils parlent d’Okapi

Témoignage d’un lecteur d’Okapi
C’est super, les thèmes sont diversifiés, on apprend plein de choses, mais ma page préférée, c’est le "On se dit tout". C’est dans cette page, quand je vois ce que disent les autres ados, que je me dis que au fond, nous sommes tous pareils !
Lucile, 12 ans
Témoignage d’un lecteur d’Okapi
J’adore Okapi parce qu’il y a des magazines qui sont trop courts et où on est obligé d’attendre un mois pour les avoir, il y a des magazines trop longs où on n’a même pas le temps de les lire et hop, il en arrive un autre… Okapi, c’est trop TOP ! Pile la bonne taille et tous les articles sont supers !
Jules, 11 ans
Témoignage d’un lecteur d’Okapi
Je trouve Okapi très intéressant et absolument adapté à des ados de notre âge ! Merci encore pour votre mag’, il est super !
Maureen, 13 ans, lectrice depuis la 6e (ça fait déjà 4 ans, le temps passe vite !)
Témoignage d’un lecteur d’Okapi
Okapi m’a accompagnée pendant 3 ans, de la 5e à la 3e, et j’ai eu un immense plaisir à le lire. Je voulais vous dire merci, vous avez touché juste !
Marine, 14 ans
Continuez à faire les Okapi aussi cool, amusants, intéressants.
Anonyme
Témoignage d’un lecteur d’Okapi
Ancienne lectrice, c’est avec beaucoup de plaisir que je vois à son tour mon fils Milo (12 ans) te dévorer chaque quinzaine. J’avoue en profiter par la même occasion, j’aime toujours autant parcourir tes pages d’ado…
Magalie, 41 ans

Pour répondre aux questions que votre ado se pose,Abonnez votre enfant à Okapi

En ce moment dans Okapi

Au sommaire d'<em>Okapi</em> ce mois-ci Au sommaire du 1er mars 2024

Féminin masculin

“Une fille au masculin, un garçon au féminin…” Il y a 40 ans, les ados reprenaient à fond ces paroles de 3e sexe, immense succès du groupe Indochine. Plus qu’un tube, l’hymne d’une génération qui, à travers ce refrain, affichait son droit à s’habiller et se coiffer hors de la norme… Quarante ans, ça fait un bail ! Devenus parents, ces ex-teens voient leurs enfants, ta génération, s’afficher parfois avec de nouvelles revendications. La puissance des réseaux en plus ! Mais dans les années 2020, on se cherche encore : quand certain(e)s ne veulent définitivement plus s’afficher comme “féminine” ou “masculin”, d’autres cultivent à l’inverse ce qui les identifie comme tel(le)s. À Okapi, on vous donne la parole : aux garçons qui disent comment ils se voient dans cette société où les repères bougent ; aux filles qui n’en finissent pas de dénoncer le poids des apparences. Et à des adultes qui ont cassé les codes en choisissant un métier “de l’autre sexe”. Bref, un numéro aux allures d’enquête géante… Bonne lecture !

Jean-Yves Dana, rédacteur en chef d’Okapi

C’est quoi, être un garçon ?

À Okapi, nous avons demandé à des garçons ce qui faisait leur identité masculine. Autrefois très liée à l’image de l’homme « fort » et à des valeurs viriles, il y a désormais mille façons d’être un garçon.

De plus en plus de garçons assument leur sensibilité. Alors que depuis des siècles, ils ont appris à taire leurs émotions, les codes commencent à changer. Autre bonne nouvelle ? La plupart des garçons interrogés trouvent normal de participer aux tâches ménagères, même s’ils ne trouvent pas ça très fun (les filles n’ont plus !). Pourtant, si les discours évoluent, les femmes consacrent toujours en moyenne presque deux fois plus de temps aux tâches domestiques que les hommes.

Niveau apparence, qu’en est-il ? Être un garçon rime toujours, pour certains, avec le fait d’arborer un corps d’Apollon. Les réseaux sociaux participent beaucoup à cet idéal de l’homme au corps musclé. Mais de nombreux garçons pensent aussi que l’on peut être stylé en étant simplement soi-même. Plutôt inspirant, non ?

Hommes-femmes au travail, ils renversent les clichés

En France, seule une personne sur cinq exerce une profession aussi bien pratiquée par les hommes que par les femmes. Mais le monde change ! Okapi a rencontré des pros qui bougent les lignes vers la parité.

« J’ai reçu des jeunes hommes arrogants avant toi. Mais aucun n’avait eu le courage de s’exiler à l’autre bout du monde. » C’est ce que s’entend dire Valérie, quand elle tente sa chance pour devenir tradeuse en Floride. Elle devient par la suite l’une des seules femmes cheffes de salle. La classe !

Les hommes aussi sont sous-représentés dans certains métiers. En France, seulement 3% des « sages-femmes » sont des hommes. Lucas en fait partie. Il a choisi cette vocation, car il trouve puissant d’être témoin du premier cri d’un bébé. Malheureusement, son travail est parfois freiné par les préjugés. Il a déjà essuyé le refus d’une future mère, préférant être assistée par une femme.

Pas facile de briser les stéréotypes !

Pourquoi les filles subissent-elles le poids des apparences ?

Critiques sur le poids, les vêtements, la coupe de cheveux, l’attitude… Des lectrices ont partagé avec Okapi ces injustices qui pèsent lourd sur leur moral !

« Pourquoi critique-t-on une fille lorsqu’elle porte des vêtements provocants, alors qu’on laisse les garçons baisser leur pantalon pour s’amuser ? » « Pourquoi les filles bruyantes dérangent-elles davantage que les garçons ? », s’interrogent des collégiennes.  

Ces injustices, relevées par nos lectrices, s’expliquent notamment par une dans l’éducation des filles et des garçons. Quand les petits garçons sont encouragés à taire leurs émotions et à ne pas faire attention aux autres, les filles doivent au contraire être douces et polies. C’est en intériorisant ces différences, que les inégalités entre les sexes se renforcent en grandissant.

Venez découvrir les témoignages de nos lectrices (et les explications apportées par nos spécialistes) !

Test : Es-tu féministe ?

Vous vous demandez si vous pouvez vous considérer comme féministe ?

La réponse se trouve à l’issue des 7 questions de ce test. Pas de panique, vous ne serez pas jugé(e)s trop sévèrement. Nous distinguons simplement trois types de féministes : le négligeant, le concerné et l’engagé. Alors, à quelle catégorie appartenez-vous ?

Charlotte Antunes

Okapi – 2 numéros par mois
Le magazine de référence des ados !

10/15 ans tous les 15 jours

Pour se repérer, les adolescents ont bien besoin d’un abonnement à un magazine comme Okapi.

Dossiers, enquêtes, actus, BD, testspour : s’épanouir et être heureux au collège, répondre aux questions qu’on ose à peine poser, comprendre l’actualité et construire sa vision du monde, se projeter sereinement dans l’avenir. 

Avec le magazine Okapi, le monde s’agrandit !

9 € par mois
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Okapi, le compagnon des années collèges de la 6e à la 3e.

Dossiers, enquêtes, actus, BD, tests… tous les 15 jours, votre adolescent trouvera dans Okapi toutes les infos dont il a besoin pour bien vivre ses années collège :

Au sommaire d'Okapi ce mois-ci
  • Dans la partie Autour du Monde : de l’actualité à hauteur d’ados, une sélection de nouvelles insolites ou sérieuses de la planète ; des décodages et un grand dossier sur un sujet science, histoire, monde ou actualité. Une approche adaptée aux 10-15 ans pour les aider à comprendre le monde qui les entoure.
  • Génération collège : très en proximité, cette partie du magazine propose aux ados les grandes enquêtes de la rédaction, des conseils pratiques pour réussir leurs années collège et des infos sur les métiers pour les aider à se projeter sereinement dans l’avenir.
  • Enfin, le magazine leur offre l’espace pour se questionner avec la rubrique C’est perso ! Des repères et des réponses aux questions que les adolescents se posent sur la santé, l’amitié, l’amour, la famille…

Après Okapi,
je lis Phosphore

Phosphore est 2 fois par mois le rendez-vous des lycéens pour trouver des réponses fiables sur les sujets d’actualité, de santé et d’intimité, se révéler, aiguiser son esprit critique,et défricher les métiers d’avenir.
Demain se prépare aujourd’hui !

Couverture du magazine Phosphore